Inkubator (razstava Camera lucida)

Tao G.V. Sambolec: composition de sons électroniques; programmation des lumieres

En son sein, l’incubateur est ouvert et en transformation constante; il est un systeme mobile instable de transition d’états élémentaires de la substance. La métamorphose des éléments est basée sur des niveaux non-matériels: le mouvement de l’air, les transmissions invisible des signaux électroniques, des sons, de la lumiere et des projections immatérielles des ombres. Par conséquent, cercle fermé de réactions continues, qui est déclenché par les rotations incôntrolées des ventilateurs dans l’air et par les heurts accidenteles aux détecteurs, événements qui sont transmis a l’ordinateur et qui déclenchent des réactions lumineuseus et sonores alternatives.

Il s’agit de la mise en place d’un monde présymbolique, encore inarticulé qui est le circuit éternel primordial des transitions et des canalisations de la matiere.

L’incubateur qui ‘vit’ se transforme, il grandit et il fonctionne en termes organiques, bien que d’une maniere artificielle.

Description:
Dans une piece assombrie, des ventilateurs et des détecteurs pendent du plafond a des hauteurs différentes, non symétriques. Des objets-plaques transparentes de plexiglas sont appuyés contre les murs ou sont fixés dans les coins. Les ventilateurs font du vent et mus par la circulation de l’air, ils tourbillonnent d’une maniere non uniforme et ils se cognent aux détecteurs; ceux-ci transmettent les impulsions, a savoir les événements a l’ordnateur qui regle l’allumage et l’extinction des lumieres et des sons électroniques. Les lumieres se déclenchent en meme temps que le son et elles illuminent les objets transparentes qui ne prennent forme et ne deviennet visibles que par la lumiere. Comme des spectres sonores, ces objets apparaissent, ils sortent de l’obscurité et ils y retournent. Sur les plaques de plexiglas, il y a des formes organiques amorphes, abstraites et simples, de résine artificielle, traces figées de taches épanchées et de écoulments. La lumiere dessine des projections et des ombres qui créent des corps lumineux immaterieles, fragiles.